You are currently viewing « J’adopte un arbre ! » Le succès toujours au rendez-vous

Terrain de jeu idéal pour les jardiniers amateurs, le parc de l’Espérion a accueilli la 3ème édition de l’opération « J’adopte un arbre », initiée par la municipalité de Vauvert et l’adjointe à l’environnement, Katy Guyot.

« Les gens sont ravis de cette opération parce que c’est innovant comme démarche et surtout parce qu’ils ont la possibilité de le planter chez eux. Ceux qui n’ont pas de jardin ou ont un jardin qui ne permet plus d’accueillir d’arbre le plantent sur le site de l’Espérion. »

Malgré une information un peu tardive (bug informatique qui a différé la parution du Mag), de nombreux candidats à l’adoption avaient répondu présents ce samedi 30 novembre. 120 arbres ont été distribués et une cinquantaine de spécimens supplémentaires ont été plantés directement dans le parc.

Les arbres jouent un rôle crucial dans la préservation de notre environnement et offrent de nombreux bienfaits pour la nature. Ils absorbent le dioxyde de carbone, un gaz à effet de serre majeur, et libèrent de l’oxygène, contribuant ainsi à la lutte contre le changement climatique. Les arbres fournissent également un habitat essentiel pour de nombreuses espèces animales et végétales, favorisant la biodiversité.

Un investissement dans l’avenir de notre planète

Planter des arbres présente de multiples avantages. En plus de leur impact positif sur la qualité de l’air, les arbres aident à réguler le climat local en offrant de l’ombre et en réduisant les températures urbaines. Ils contribuent également à la gestion des eaux pluviales en absorbant l’eau et en prévenant l’érosion des sols.

Sur le plan esthétique, les arbres embellissent les paysages urbains et ruraux, créant des espaces verts agréables pour les communautés.

En somme, planter des arbres est un investissement dans l’avenir de notre planète, bénéfique pour l’environnement, la biodiversité et le bien-être humain.

L’élue insiste encore sur la portée symbolique de cette opération.

« Pour les nouveaux arrivants, c’est un geste d’accueil, c’est symbolique, ils prennent racine. Pour les familles qui ont accueilli un bébé au cours de l’année, c’est aussi un message de bienvenue dans la communauté vauverdoise. Et puis après, il y a tous ceux qui ont envie aussi de prendre cet arbre, de le planter et de s’en occuper.

Pour nous, ce qui est important, c’est que le patrimoine arboré de la commune se développe.

« J’adopte un arbre » ce n’est pas simplement, la ville donne un arbre. En parallèle, on organise des ateliers et on développe les partenariats comme l’école « Être », le PTB Vistre Vistrenque, le collectif Acte avec qui on a un projet de coopérative de production d’énergie photovoltaïque citoyenne et également des producteurs locaux. On veut aussi sensibiliser les habitants à la question de la biodiversité, à la question de la protection de l’environnement. 

Créer du lien social

Cette année, c’est la troisième édition. La première édition, on l’avait organisée au parc des Aigrettes. Mais c’était un peu plus éloigné du centre urbain et l’accès est assez dangereux. En ouvrant le parc de l’Espérion, qui commence à être arboré, on a l’opportunité de conforter ce patrimoine arboré et en plus les gens qui viennent ici peuvent l’entretenir, ils peuvent l’arroser. Certains ont mis leur nom sur les arbres aussi. Et donc, ça permet de pouvoir allier le côté symbolique au côté écologique.

Les familles peuvent choisir entre cinq essences ; l’olivier qui est plébiscité, l’amandier, le jujubier, l’arbre de Judée, le chêne vert. Mais l’olivier reste l’arbre le plus demandé. C’est à la fois un arbre d’ornement, c’est un arbre à fruit, et puis après, c’est facile à entretenir, ça ne craint pas trop la sécheresse ou le froid. Et puis, c’est l’arbre d’ici. »

L’action va s’inscrire dans la durée car elle participe à la préservation de l’environnement, de la biodiversité et permet aux habitants de se retrouver, de créer du lien social.

Guy Roca

Avec quelques amis intéressés par l'écriture, la photo, la vidéo, les nouvelles technologies de la communication, nous avons créé Vauvert Plus en novembre 2010. Avec la même passion, la même ardeur, la même ambition, je participe aujourd’hui à la belle aventure de VOIR PLUS, le journal numérique de la vie locale et des associations, de l’actualité culturelle et sportive en Petite Camargue.
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