• Auteur/autrice de la publication :
  • Post category:Non classé

Pélissanne
Dimanche 25 août

C’est devant des gradins quasi pleins que cette finale débute. A La capelado, ont y voit : Grammatico, Chig, Sabot, Ricci, Marquis, Ferriol et trois tourneurs. Ils fourniront un bon travail, autant qu’il soit possible dans une très petite piste, même si parfois des cocardiers en auraient souhaité plus. Au palmarès, on y retrouve F Grammatico premier aux points, Sabot pour l’animation et Sheriff (Bon) pour les taureaux. A noter que R. Marquis reçoit une pointe à la main gauche par Figaro de Bon et sort au second.

Côté cocardiers, un bel ensemble car du premier au dernier, tous ont apporté leur contribution au succès de cette finale organisée par la société taurine de Pélissanne.

Quasimodo (Blatière-Bessac)
Un très bon premier, qui bien que mobile ne refusera rien et viendra passer la tête ou frapper à plusieurs reprises. Puis il se place et là ça se corse pour les hommes. Il garde ses ficelles.

Figaro (Bon)
Énorme de stature et de vaillance, il ne refusera rien. Il surprend Marquis et lui inflige une pointe à la main. Après un combat intense, il rentre sa seconde ficelle.

Givalon (Cuillé)
Rien que son placement pose problème, si on y ajoute sa rapidité de réaction et une légère anticipation, on comprend facilement qu’il va poser des sérieux problèmes à ses adversaires. Il ne perd son second gland qu’à la limite.

Sheriff (Bon)
C’est Figaro avec les finitions en plus. Il va donc effectuer une brillante prestation, ne lâchant pas un pouce de terrain et s’envoyant à plusieurs reprises après les hommes. La fin sera très intense et ce n’est que durant la dernière minute qu’il perd cocarde et glands.

Sarcouf (Blatière)
Un début un peu brouillon car son sang l’emporte, mais par la suite il se place et le combat devient plus net. Quand Ferriol ne laisse qu’un tour de ficelle, suivront cinq minutes très intenses et là Sarcouf fait face, ce qui laisse entrevoir ses possibilités. Nombreuses finitions et il rentre sa seconde ficelle.

Rubis (Chauvet)
Jeune cocardier dont on retiendra surtout la bravoure avec un regret, qu’il n’ait pas eu plus de travail car il pouvait donner plus et mieux. Il rentre ses ficelles.

Nadir (Blatière-Bessac)
Cet étalon a un turbo dans chaque patte, sa puissance va laisser perplexe les hommes qui ne le chatouilleront pas. Il vient frapper à plusieurs reprises et en particulier à la fin sur Ferriol où il explose toutes les planches, impressionnant !

   Emile Grande

 

 
 
 

Guy Roca

Avec quelques amis intéressés par l'écriture, la photo, la vidéo, les nouvelles technologies de la communication, nous avons créé Vauvert Plus en novembre 2010. Avec la même passion, la même ardeur, la même ambition, je participe aujourd’hui à la belle aventure de VOIR PLUS, le journal numérique de la vie locale et des associations, de l’actualité culturelle et sportive en Petite Camargue.
avatar pour
avatar pour
avatar pour
avatar pour
avatar pour
avatar pour
avatar pour
avatar pour
avatar pour
avatar pour
avatar pour
avatar pour
avatar pour
avatar pour
avatar pour
avatar pour
avatar pour
avatar pour
avatar pour
avatar pour
avatar pour