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Sommières
Dimanche 6 septembre 2015
Une fois encore, les gradins sont pleins quand le président de course appelle les raseteurs (7+5) pour la capelado. Allouani, Cadenas, Katif et Aliaga feront tout pour tirer ce qu’il était possible de cette course. Sans eux c’eut été l’ennui, le fiasco… Avec eux, Poujol, Ayme et Ricci feront suivant leurs possibilités.
En effet, les taureaux soit récalcitrants, voire inertes, soit brouillons, et au mieux volontaires, ne faisaient pas le « poids ». Course sans relief, merci aux blancs pour nous avoir évité le pire.
Cyrano (Laurent)
Un premier plus raide que souhaitable à cette place. Il ignorera quasiment tout et fort heureusement le président de course « rabiotera » quelques minutes et abrègera l’ennui.
Bendor (Ricard)
Un second qui sera un autre premier, quelques réactions tout de même avec la corne qui vient frapper aux planches, mais la majorité sera beaucoup de refus qui agacent le public. Il rentre ses ficelles.
Santen (Les Baumelles)
Il débute en enfermant Cadenas à qui il vole un bout de pantalon. Puis il va alterner de belles réactions aux finitions extrêmement dangereuses avec des moments de récupération où il se déplace pour ignorer. Un beau quart d’heure tout de même, sans plus, avec ses ficelles au toril.
Troubadour (Laurent)
Comme Cyrano, il se mettra aux abonnés absents malgré les nombreuses tentatives des hommes. Malgré les trois minutes de moins décidées par le Président pour éviter la bronca, qui aura lieu tout de même, que ce fut long !
Perroquet (Ricard)
Il est brouillon, parfois même absent, mais il inspire la crainte car, à la barrière, il se montre dangereux. Des sauts parfois seul mais le plus souvent après l’homme et quelques belles finitions apporteront un peu de relief à sa course. Il garde sa seconde ficelle.
Icare (Paulin)
De gros engagements comme il sait les faires, mais aussi beaucoup de déchets et une mobilité excessive. Aliaga sera son meilleur adversaire, en tous cas celui après qui il se signalera le plus à la planche. Donc du bon et du moins bon, il garde ses ficelles.
Indian (Laurent)
Hors points, il débute en trombe, se projette après Aliaga et perd ses rubans en une minutes. Les hommes lui imposent leur loi et trois minutes plus tard la première ficelle s’en va. Les hommes décident alors de le faire briller pour lui et le public. Mais il n’a plus les ressources suffisantes, il est volontaire mais fini les finitions. Il s’incline à la septième.
Emile Grande
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