Dès l’époque gauloise, l’histoire du Cailar se confond avec l’histoire de la Petite Camargue.
Ouvert sur la lagune qui était alors navigable, Le Cailar se trouve à l’extrémité occidentale du Delta du Rhône, dominant l’espace que l’on appelle aujourd’hui la Petite Camargue, et servant de port pour l’ensemble du Languedoc oriental, de la Vaunage à laquelle Le Cailar est relié par le Rhôny, à la région nîmoise à travers la vallée du Vistre. Le comptoir a été installé au confluent de ces deux fleuves, sur une petite éminence naturelle.
De l’origine du port gaulois à la période féodale et son castellus (château fort, au moyen âge, toponyme de Le Cailar), il en a été beaucoup question jeudi 8 février au Café de l’Avenir.
Réjane Roure, archéologue, maître de conférence à l’Université Paul-Valéry Montpellier 3 et André Blanc, Vice-Président de l’association Litoraria ont animé le Café de Pays, intitulé : « Histoire de Le Cailar… et ses Histoires »
Initiés par le regretté Michel Falguières, les Cafés de Pays du Cailar continuent d’intéresser un large public attaché à l’histoire locale, à la bouvine, aux traditions camarguaises…
Thierry Bourdy nous en fait découvrir quelques temps forts.