You are currently viewing Environnement : La nouvelle déchèterie du Cailar a rouvert

Outil essentiel de la politique environnementale de la communauté de communes de Petite Camargue, le réseau des déchèteries est à nouveau optimal.

Après 6 mois de fermeture, la déchèterie du Gravas au Cailar a rouvert et met à disposition des usagers, professionnels et particuliers, un équipement spacieux, fonctionnel, adapté à leurs besoins.

Un investissement de plus de 700 000 € HT porté par la Communauté de Communes.

La maîtrise d’œuvre  de l’opération a été confiée au bureau d’études CEREG, et les travaux ont été réalisés par l’entreprise EIFFAGE : il s’agit notamment de la démolition de l’existant, du terrassement de la structure de la plate-forme, haut et bas de quai, voiries, bâche incendie, assainissement non collectif, bassin pluvial et rétention, débourbeur, déshuileur, éclairage extérieur et clôtures. L’entreprise Bourdoncle a posé les systèmes anti-chutes afin de mettre en  conformité l’installation conformément à la réglementation en vigueur concernant les risques de chute en hauteur.

La plate-forme est composée de 11 quais de déchargement (Cartons, Déchets Equipement Ameublement, Encombrants Non Incinérable, Encombrants Incinérables, Déchets verts (2), Gravats (2), Métaux, Bois, Plâtres, une colonne à verres, une à textile et  une pour l’huile de vidange). Deux conteneurs maritimes, l’un pour les Déchets d’Equipement Electriques Electroniques (D3E) , l’autre pour les déchets dangereux des ménages complètent l’équipement.

Ce sont près de 20 000 personnes qui fréquentent annuellement la déchèterie de Le Cailar pour un volume total de 8 553 tonnes.
Outre les usagers du Cailar, la déchèterie accueille ceux provenant de Gallician, mais aussi d’autres quartiers de Vauvert.

La déchèterie du Gravas est ouverte du mardi au samedi de 8h30 à 12h00 et de 14h00 à 17h30.

Guy Roca

Avec quelques amis intéressés par l'écriture, la photo, la vidéo, les nouvelles technologies de la communication, nous avons créé Vauvert Plus en novembre 2010. Avec la même passion, la même ardeur, la même ambition, je participe aujourd’hui à la belle aventure de VOIR PLUS, le journal numérique de la vie locale et des associations, de l’actualité culturelle et sportive en Petite Camargue.
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