Avec quelques amis intéressés par l'écriture, la photo, la vidéo, les nouvelles technologies de la communication, nous avons créé Vauvert Plus en novembre 2010.
Avec la même passion, la même ardeur, la même ambition, je participe aujourd’hui à la belle aventure de VOIR PLUS, le journal numérique de la vie locale et des associations, de l’actualité culturelle et sportive en Petite Camargue.
C’est devant un parvis des halles abondamment garni que s’est déroulé ce ciné-bouvine, prélude incontournable à la fête votive. Avec le partenariat initié, il y a maintenant dix ans par la ville de Vauvert et le Festival du film taurin et camarguais de St-Géniès de Malgoires, on plante tout de suite le décor et on présente l’acteur majeur de ces neuf jours de liesse : le taureau.
Jacques Boisset, responsable du parc à lapins du Cantaïre
Sous l’abri ombragé de l’ancienne station des eaux du Cantaïre, dans des cages régulièrement entretenues et désinfectées, la société de chasse locale, élève quelques 200 à 250 lapins de garenne originaires de notre terroir afin de maintenir, voire de recréer des populations suffisantes sur le territoire communal. En cette chaude journée estivale, Robert Fabre, vice-président de la Diane vauverdoise, nous fait découvrir la gestion de la faune des Costières et les travaux d’aménagement (jachères, luzernes et cultures à gibier, garennes artificielles, cages de pré-lâcher…), qu’effectuent tout au long de l’année le bureau et les bénévoles de la société pour permettre une bonne pratique de l’activité de chasse.
La Diane vauverdoise, présidée depuis trois ans par Christophe Bertin, gère la chasse à terre sur plus de 600 hectares de vignes et de bois. Des parcelles communales mais également des terrains privés régis pas des baux de chasse signés avec les propriétaires. Afin de perpétuer cette tradition ancestrale, d’assurer la pérennité d’une chasse attractive et d’offrir à ses 183 adhérents les meilleures conditions de pratique de cette activité de loisir nature, l’association mène des opérations de repeuplement, d’aménagement des espaces naturels, de régulation des nuisibles et s’efforce de mettre en place une gestion responsable des prélèvements.
Abrivado, bandido, gaze, courses dans les arènes "relookés", le taureau est le roi de la fête à Gallician. Journée des enfants, journée des anciens, journée à l'ancienne, apéritifs et animations musicales sur la place du hameau, il y en a eu pour tous les goûts. Six jours de fête dans une bonne ambiance, en famille, entre amis, et dont on va garder un très bon souvenir,…
Depuis toujours, le commerce et la ville ont grandi ensemble. Ici comme ailleurs. Jusqu’à la fin des années 1960, le commerce alimentaire de proximité et l’artisanat commercial, souvent lié à l’activité agricole, se sont développés presque exclusivement au cœur du village ; de la place de l’église (place Gambetta) à la place des halles. Pendant longtemps, la rue Victor Hugo est restée la principale rue commerçante, le lieu de passage et d’échanges privilégié des vauverdois. Les rues adjacentes, rue Carnot, rue du Marché, rue des Capitaines, rue Emile Jamais, rue des Casernes, participaient à ce dynamisme économique du centre-ville.
C’est dans une ambiance très familiale et conviviale et devant une salle bien garnie que s’est déroulée dernièrement l’assemblée générale du Gallia Club de Gallician en présence de Bruno Pascal, adjoint au maire délégué aux sports.
Gérald Inesta, président de l’association, après avoir souhaité la bienvenue à tous, a ouvert les débats en disant toute sa satisfaction pour la saison écoulée et tout le bien qu’il en pensait sur tout les plans qu’ils soient sportifs, bien sûr, mais aussi sur le plan du fair play et du rayonnement grandissant au niveau régional du club, n’oubliant pas de remercier au passage tout les bénévoles, les parents, les éducateurs, les joueurs et les partenaires qui aident tout au long de l’année le club. Il remercia également la municipalité pour les magnifiques installations sportives mises à disposition du Gallia tout au long de l’année.
Pour le plaisir des yeux et des oreilles, un public nombreux a participé à la balade musicale au centre de découverte du Scamandre. Afin de poursuivre la belle expérience de l’année dernière, les organisateurs du Festival de Jazz à Vauvert et à Junas et le Syndicat de la Camargue Gardoise ont proposé samedi 16 juillet un spectacle avec 4 musiciens de « La Horde » : Abdelkarim Chatar (gumbri, chant), Samuel Silvant (percussions), Vincent Vidalou (graille, tible, tenora, chant), Clément Baudry (instruments à vent divers, accordéon, chant).
La 23éme édition du festival « Jazz à Junas », qui a gardé son esprit d’ouverture à toutes les cultures et tous les styles de jazz, a tenu toutes ses promesses lors du concert donné aux arènes de Vauvert.
En préambule du concert, toutes les pensées des musiciens et des spectateurs sont allées vers les victimes de Nice. Paolo Fresu, a laissé entendre une long cri plaintif et solennel avec sa trompette, alors que les spectateurs debout et silencieux se recueillaient.
Biòu de l’Avenir 2009 Biòu d’Or 2011 – 2012 – 2014 Dauphin du Biòu d’Or en 2013 et 2015
Taureau de race Camargue né en mars 2000 à la manade des Baumelles de Joël, Sylvie et Guillaume Linsolas, aux Saintes-Maries-de-la-Mer.
Descendant du célèbre cocardier Tristan, de la manade Saumade, Garlan fut un cocardier exceptionnel. Il fait partie des quatre seuls taureaux ayant remporté trois fois le Biòu d’Or, titre récompensant le meilleur taureau de l’année.